Depuis 2019 et la chute du "califat" de Daech en Syrie et en Irak, des centaines d'enfants de djihadistes français sont toujours bloqués dans des camps de réfugiés, leur pays d'origine refusant leur retour au mépris de tous les textes sur la protection de l'enfance. Rendus responsables des crimes de leurs parents, ces mineurs, généralement orphelins, sont aujourd'hui victimes des craintes de la classe politique, alors que les associations assurent que leur retour ne représenterait aucun risque.